Les fonds de réhabilitation stade Intwari sont l’apanage de la contribution de toutes les parties. Lors de l’évaluation du premier mois de travaux seules certaines parties avaient déjà donné leur part. Les communes du pays et d’autres contribuables individuels n’avaient pas encore mis leur main au chantier.
Le Tout premier stade reconnu par les normes de la CAF s’érige en mairie de Bujumbura. Ainsi, il sera le seul au Burundi à porter quatre vestiaires, neuf pistes d’athlétisme et une capacité d’accueil de dix-huit mille personnes. De plus, le stade se réserve un caractère extraordinaire au niveau de sa construction. Méthode NDIKUMAGENGE, Ingénieur du chantier a fait savoir que le côté technique avance convenablement. Il ajoute que le plan architectural comprend des parkings payants, des petits magasins et des restaurants d’honneur pour satisfaire les besoins des supporteurs. Ce plan permettra, à son avis ; à l’économie burundaise d’en tirer profit. Pourtant, la durée préétablie pour les travaux d’exécution et de finition suscite des doutess. A cela, Méthode NDIKUMAGENGE affirme que les travaux pourraient même prendre fin avant l’échéance. « Tous les pourtours seront finis en décembre prochain et des gradins pourront être installés le mois suivant. Ces gradins sont déjà disponibles au stoc » a souligné Réverien Ndikuriyo, président de pilotage de cette construction et ex-président de FFB.
Le nouveau stade est une infrastructure d’intérêt public. Dans ce sens, tous les citoyens burundais doivent contribuer physiquement et matériellement. « Aucune commune ne peut manquer un million pour contribuer à un chantier du pays. A titre d’exemple, Son Excellence le Président de la République du Burundi a pris le devant, il a déjà disponibilisé six mille gradins. De sa part, la mairie envoie100 aides maçons avant midi et 100 autres l’après-midi par quartier » a fait savoir le Président de pilotage. Qui conque veut voir son nom gravé dans la salle de tribune en caractère indélébile doit contribuer à ce chantier. Sur un budget d’un milliard qui était déjà disponible, cinq cents millions ont été déjà dépensés et le reste continue à couvrir les travaux du chantier dans un délai d’un mois en attendant d’autres fonds.
NDUWAYEZU JULDAS stagiaire