Après 11 ans de la catastrophe d’incendie qui a ravagé le marché central de Bujumbura, la reconstruction se fait attendre. Pourtant, l’Observatoire Lutte Contre la Corruption et les Malversations Economique (OLUCOME) ne voit pas ce qui freine la réédification de ce marché.
Plus de 3500 commerçants ont perdu leurs marchandises et leurs emploies. Parmi eux les uns sont déprimés et les autres croupissent toujours dans la misère, indique Jean Nduwimana porte parole de L’OLUCOME. Cet activiste fait savoir que son organisation ne comprend pas les obstacles qui empêchent la reconstruction de l’ex marché central de Bujumbura. Pour lui 11ans suffisent pour au moins balayer cette espace qui peut causer des conséquences environnementales néfastes. Ces effets néfastes résulteraient des produits chimiques qui pourraient être nocifs actuellement à la santé humaine. Il ajoute que l’OLUCOME a toujours soif de savoir pourquoi il n ya pas des poursuites judicaires pour mettre en lumière les causes de cette incendie. A l’onzième anniversaire de la tragédie de l incendie qui a détruit le marché central de Bujumbura l’OLUCOME recommande au gouvernement du Burundi de faire assurer tous les marché, de sensibiliser les commerçants à adhérer dans les sociétés d’assurance et de rendre disponible des véhicules anti incendie dans.