Le lac Tanganyika se venge

Pour cet année 2024 le Lac Tanganyika va progresser jusqu’ a atteindre son niveau le plus élevé de 1964 comme le prouve les experts. Cette montée d’eau peut causer des problèmes néfastes à la population vivant sur le littoral de ce lac.  L’Observatoire de la lutte contre la Corruption et la Malversation Économique (OLUCOME) propose des solutions au Gouvernement pour lutter contre cette catastrophe. Partant du constant de l’expert en environnement et professeur de l’université  Bernard Sindayigaya la sous-région va connaître les fortes précipitations  cette année. Par conséquent, le lac…

L’échec scolaire, une équation à plusieurs inconnus

La réussite scolaire piétine de plus en plus à l’Ecole fondamentale du système éducatif au Burundi. Deux jeunes sur dix parviennent à la classe de 9ème année selon le rapport de l’UNICEF et l’UNESCO. A côté de la qualité de l’enseignement qui laisse à désirer, le phénomène de décrochage scolaire met le bâton dans les roux du développement économique du pays. Sur  46,4% des enfants de six ans qui accèdent à l’enseignement fondamental,  seule la moitié termine les trois premiers cycles, rapportent l’Unicef et l’UNESCO à l’occasion de la journée …

L’ex-marché de Bujumbura toujours dans les mémoires

Après 11 ans  de la catastrophe d’incendie qui a ravagé  le marché central de Bujumbura, la reconstruction se fait attendre. Pourtant, l’Observatoire Lutte Contre la Corruption et les Malversations Economique (OLUCOME) ne voit pas ce qui freine la réédification de ce marché. Plus de 3500 commerçants ont perdu leurs marchandises et leurs emploies. Parmi eux les uns sont déprimés  et  les autres  croupissent toujours dans la misère, indique Jean Nduwimana porte parole de L’OLUCOME. Cet activiste fait savoir que son organisation ne comprend pas les obstacles qui empêchent la reconstruction…

BURUNDI : l’agriculture de maracuja bientôt à la une

L’agriculture burundaise se taille de plus en plus la part dans le développement du pays. Pour le moment  c’est la culture de maracuja qui occupe désormais la scène de la une. Des nouvelles mesures sont prises dans tout le pays. A côté des plantes industrielles comme le théier, le caféier, la canne-à-sucre et le cotonnier, une plante s’ajoute ; le maracuja. Désormais, Chaque ménage de l’intérieur du pays doit avoir au moins 3 plants de maracuja plantés au pourtour de sa clôture. 360 000 plants  sont déjà disponibles pour la mis…

Le prix des graines sèches du maïs de nouveau fixé par l’Etat

Face au risque d’instabilité des prix des produits agricoles, l’Etat burundais impose désormais le prix de vente des graines sèches de maïs. Plus qu’auparavant, le prix a doublement augmenté. Les ministres ayant le commerce et l’agriculture dans leurs attributions s’expliquent. Aux moments des flambées des prix des denrées alimentaires, l’administration publique intercède auprès des cultivateurs souvent victimes du surplus de leur production agricole. « Désormais, un kilo  des graines du maïs sec coûtera 1700F pour tous les opérateurs économiques ou l’agence nationale de gestion du stock stratégique alimentaire lors de la…

Demander l’emploi 94 fois sans succès

Après 94 dossiers de demande d’emploi  déposés en vain, il a pris la discision d’entreprendre pour combattre afin de gagner sa vie. Malgré plusieurs défis rencontrés le jeune entrepreneur Burundais  du nom de Saidi Vianney Baseka   a parvenu a créé une entreprise.  Témoigne. Licencier en littérature anglaise depuis 2015 à l’université du Burundi. Saidi Vianney Baseka a pris le chemin de la recherche d’emploi comme d’habitude.  Mais ce jeune a déposé jusqu’à 94 dossiers en vain. Motivé par cet échec, il a plus la discision de ne plus demander l’emploi…

BURUNDI: l’engrenage de l’endettement brouille l’espoir de développement

A une allure qui ne faiblie pas l’endettement suit une courbe ascendante au Burundi. Pourtant, les résultats tangibles des dettes laissent à désirer. La dette intérieure augmente chaque année la même chose pour la dette extérieure. Actuellement les voix s’élèvent à l’égard de possible implosion économique. Les chiffres actuels de la dette intérieures s’élèvent à plus de 5300 milliards BIF soient près de 2000 000 USD et plus de 1600 milliards BIF de la dette extérieure soit plus 600 000 USD. Cette situation de la dette ne rime pas plutôt…

L’entrepreneuriat, une arme efficace contre le chômage

Le nombre de chômeurs ne cesse de s’accroître au Burundi. Les défis liés au manque de formations suffisantes aux jeunes figurent parmi les causes. Face a cette situation l’organisation Africa Rebirth Burundi n’a pas croisé les bras. Elle accompagne le gouvernement à l’initiative de création de l’emploi à la jeunesse. Mais, par quelles stratégies? Dans le contexte de chômage en courbe ascendante qui atteint 53.4% en 2020 l’enracinement de la culture entrepreneuriale laisse toujours à désirer. Ce défis est au milieu d’autres notamment l’inadéquation de l’offre du système éducatif aux…

Les marchés publics: la corruption règne à ciel ouvert

La grande partie des budgets des Etats est consommée à travers les marchés publics. Mais, en Afrique la transparence laisse à désirer dans la passation de ces marchés. La vigilance à ceux qui gagnent les marchés comme aux autorités contractantes reste à maintenir. Le Burundi et le Sénégal, deux pays africains attirent notre attention dans cet article. Partout au monde les marchés publics consomment une bonne partie du budget de l’Etat. Mais  dans la plupart des pays sans bonne gouvernance solide les marchés publics constituent un des canaux de détournement…

BURUNDI : Les vers de terre, une solution dans la fertilisation du sol?

Les chercheurs universitaires s’activent pour découvrir du fumier à partir des vers de terres. L’université de Ngozi, Université du Burundi, Université Polytechnique de Gitega et de l’Ecole Normale Supérieure exploitent les vers de terre pour fabriquer de l’engrais organique afin de répondre aux urgences de l’infertilité du sol. Jusqu’où iront ces chercheurs ? Accéléré par l’acidité,  l’appauvrissement  du sol ne cesse de mettre  en péril la production agricole au Burundi. « Plus de 73% des terres cultivables sont menacé par acidité, les principaux éléments nutritifs tels que l’azote, phosphore, potassium diminuent considérablement,…