Une quinine au problème d’emploi des jeunes chômeurs ?

L’employabilité des jeunes chômeurs burundais teste de plus en plus les stratégies de l’administration tant publique que privée. Experts, décideurs, partenaires au développement et institutions financières  tentent une solution durable. Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) met à table déjà son enveloppe impactant plus de 4000 jeunes et femmes innovateurs. Sous le poids de l’employabilité de tous les chômeurs, l’administration publique et ses partenaires financiers se jettent à l’eau pour décrocher la timbale. « Alors que les effectifs des jeunes chômeurs se calculent en millions, investir dans les…

Les feuilles d’eucalyptus peuvent-elles accoucher des devises ?

Une monnaie courante sur presque tout le territoire burundais, les feuilles d’eucalyptus blanc s’imposent par leurs capacités curatives et préventives de pas mal de maladies. L’huile essentielle exportable à l’étranger est désormais expérimentée au Burundi. Certains des entrepreneurs burundais tirent parti du crépuscule de l’agro-industrie au Burundi  pour se créer des activités génératrices de revenu. Transformant les feuilles d’eucalyptus blancs, la société Rumina compte exporter l’huile très convoitée. La production encore artisanale de cette société est sollicitée au delà des frontières. « Après avoir chauffé à 1000 des feuilles de mayideni,…

Les feuilles d’eucalyptus peuvent-elles accoucher des devises ?

Une monnaie courante sur presque tout le territoire burundais, les feuilles d’eucalyptus blanc s’imposent par leurs capacités curatives et préventives de pas mal de maladies. L’huile essentielle exportable à l’étranger est désormais expérimentée au Burundi. Certains des entrepreneurs burundais tirent parti du crépuscule de l’agro-industrie au Burundi  pour se créer des activités génératrices de revenu. Transformant les feuilles d’eucalyptus blancs, la société Rumina compte exporter l’huile très convoitée. La production encore artisanale de cette société est sollicitée au delà des frontières. « Après avoir chauffé à 1000 des feuilles de mayideni,…

: La surproduction des tomates, une aubaine pour des jeunes entrepreneurs

Des jeunes entrepreneurs tentent l’impossible pour  transformer   des problèmes en opportunités. Face à la surproduction récurrente des tomates, ces entrepreneurs innovent la transformation des tomates en poudre conservable à long terme.    Préoccupés par  la mauvaise gestion des excédents de la production des tomates, certains des jeunes entrepreneurs burundais parient à ce problème par  un génie spectaculaire. Dieudonné Niyokwizera et ses collègues profitent des quantités énormes des tomates qui  pourrissent pour innover. « Voyant des  productions excédentaires des tomates dans certaines provinces de l’ouest du pays nous nous sommes unis en…

Justice : la société civile burundaise tire une sonnette d’alarme

La surpopulation carcérale inquiète au Burundi. Dans toutes les prisons le nombre des prisonniers  triple voir quadruple par rapport au nombre initialement prévue tenant compte des infrastructures carcérales. L’organisation de lutte contre la corruption et la malversation économique (OLUCOME) tire la sonnette d’alarme. L’effectif des détenus restent plus élevés dans les prisons. Dans les  11 prisons dont dispose le pays  l’effectif des personnes carcérales  est estimé à plus de 12000 personnes alors que la capacité d’accueil est de 4000. Tous ces détenus sont pris en charge dans les besoins par…

Le lac Tanganyika se venge

Pour cet année 2024 le Lac Tanganyika va progresser jusqu’ a atteindre son niveau le plus élevé de 1964 comme le prouve les experts. Cette montée d’eau peut causer des problèmes néfastes à la population vivant sur le littoral de ce lac.  L’Observatoire de la lutte contre la Corruption et la Malversation Économique (OLUCOME) propose des solutions au Gouvernement pour lutter contre cette catastrophe. Partant du constant de l’expert en environnement et professeur de l’université  Bernard Sindayigaya la sous-région va connaître les fortes précipitations  cette année. Par conséquent, le lac…

L’échec scolaire, une équation à plusieurs inconnus

La réussite scolaire piétine de plus en plus à l’Ecole fondamentale du système éducatif au Burundi. Deux jeunes sur dix parviennent à la classe de 9ème année selon le rapport de l’UNICEF et l’UNESCO. A côté de la qualité de l’enseignement qui laisse à désirer, le phénomène de décrochage scolaire met le bâton dans les roux du développement économique du pays. Sur  46,4% des enfants de six ans qui accèdent à l’enseignement fondamental,  seule la moitié termine les trois premiers cycles, rapportent l’Unicef et l’UNESCO à l’occasion de la journée …

L’ex-marché de Bujumbura toujours dans les mémoires

Après 11 ans  de la catastrophe d’incendie qui a ravagé  le marché central de Bujumbura, la reconstruction se fait attendre. Pourtant, l’Observatoire Lutte Contre la Corruption et les Malversations Economique (OLUCOME) ne voit pas ce qui freine la réédification de ce marché. Plus de 3500 commerçants ont perdu leurs marchandises et leurs emploies. Parmi eux les uns sont déprimés  et  les autres  croupissent toujours dans la misère, indique Jean Nduwimana porte parole de L’OLUCOME. Cet activiste fait savoir que son organisation ne comprend pas les obstacles qui empêchent la reconstruction…

BURUNDI : l’agriculture de maracuja bientôt à la une

L’agriculture burundaise se taille de plus en plus la part dans le développement du pays. Pour le moment  c’est la culture de maracuja qui occupe désormais la scène de la une. Des nouvelles mesures sont prises dans tout le pays. A côté des plantes industrielles comme le théier, le caféier, la canne-à-sucre et le cotonnier, une plante s’ajoute ; le maracuja. Désormais, Chaque ménage de l’intérieur du pays doit avoir au moins 3 plants de maracuja plantés au pourtour de sa clôture. 360 000 plants  sont déjà disponibles pour la mis…

Le prix des graines sèches du maïs de nouveau fixé par l’Etat

Face au risque d’instabilité des prix des produits agricoles, l’Etat burundais impose désormais le prix de vente des graines sèches de maïs. Plus qu’auparavant, le prix a doublement augmenté. Les ministres ayant le commerce et l’agriculture dans leurs attributions s’expliquent. Aux moments des flambées des prix des denrées alimentaires, l’administration publique intercède auprès des cultivateurs souvent victimes du surplus de leur production agricole. « Désormais, un kilo  des graines du maïs sec coûtera 1700F pour tous les opérateurs économiques ou l’agence nationale de gestion du stock stratégique alimentaire lors de la…