L’agriculture burundaise se taille de plus en plus la part dans le développement du pays. Pour le moment c’est la culture de maracuja qui occupe désormais la scène de la une. Des nouvelles mesures sont prises dans tout le pays.
A côté des plantes industrielles comme le théier, le caféier, la canne-à-sucre et le cotonnier, une plante s’ajoute ; le maracuja. Désormais, Chaque ménage de l’intérieur du pays doit avoir au moins 3 plants de maracuja plantés au pourtour de sa clôture. 360 000 plants sont déjà disponibles pour la mis en œuvre de ce projet, indique Prosper Dodiko, ministre de l’environnement, agriculture et l’élevage. Chaque ménage aura planté trois pieds de maracuja dans une année dans tout le pays.
Le prix du maracuja est plus ou moins satisfaisant sur le marché. Actuellement, le ce fruit s’achète 7000 le kg. De plus, cette plante s’adapte sur le territoire du pays. Au Burundi, ce fruit est essentiellement transformé en jus mais aussi peut être consommé à l’état cru. Les qualités nutritionnelles de maracuja sont essentielles en vitamines C et A.